Dans une salle du palais du roi, faiblement éclairées avec une lampe à huile. Deux chaises placées à côté de l’autre. L’épouse du roi, INE, entre listlessly dans une humeur triste, ses yeux remplis de larmes. Elle est enveloppée de blanc de la tête aux pieds, laissant le visage ouvert. La saisie, elle entend un son, des expériences des unusualness dans le calme de la salle et commence un monologue. Elle a l’air tout autour de la pièce et son monologue terriblement centres sur le son, le son de la musique dans le domaine. Elle se voyait entre le monde physique et le monde spirituel. Chanson numéro six – ‘o’ (Le Ciel), semble faire écho à ses oreilles comme si elle est à demander à la mort de son innocence dans un crime qu’elle n’avait pas de mains. C’est le moment le plus sombre de la matinée avant de crépuscule quand on estime que les agents de fées de hanter les humains.
INE : l’air est épais et sec,
Ce qui rend la respiration difficile.
Mon corps est faible, mes jambes sont lourdes ;
Ce qui rend les mouvements à l’aise.
Antipathique avec corps et âme,
Comme l’écaille de tortue,
Rempli de lourdes pierres.
(le gong retentit. Gommm-gommm-gommm…)
C’est le message de l’heure.
Ils se sont regroupés autour de mon monde,
Dans le silence et la clameur mon malheur.
Des agents de l’absurde, de l’air
Jouer la musique de macabre.
La danse ! La danse ! La danse !
Je vais à votre musique, danse
Et les princes de mon sein devra recueillir
À la fin d’une vie sans gloire.
Rarement les hommes distribuent des larmes pour les morts,
S’ils ont tempête dans leur cœur.
En effet l’un d’entre eux crie, femme
Mais, ai-je une princesse, nées de ma réplique,
De chanter elegies pendant que je couche sur le dos,
En extase J ‘irai au sacré royaume.
(sièges elle-même, essuyant ses larmes, appelle IBIBO.)
Ibibo ! Ibibo ! Ibibo !
IBIBO : (peur attaquer alors qu’il s’engouffre dans et voit sa mère
Baigné de larmes.)
Je suis ici, la mère.
Votre voix sonore est à l’incertitude.
INE : Mon petit fils, s’asseoir et m’écouter
Avec une attention soutenue pour votre mieux-être.
Être virile, ne laissez pas les larmes de couchage dans vos yeux
De service par mes paroles ou les larmes dans mes yeux.
J’ai vu la maternité mon beclouding danger
Pour vous offrir l’honneur prématuré dans la tristesse.
IBIBO : (effrayé.) La mère, représente quelque chose de l’affaire ?
Me dire l’état de votre mère.
Vos larmes douloureuses, toucher la pluie sur moi,
Étancher la soif mais embitters pas mon esprit.
Vous paraître étrange et frileux.
Parler de votre mère, je suis avec vous.
(Entretiens avec une voix inhabituelle et pleure par intermittence. IBIBO
est maintenant masquée par un air triste…)